Au moment où je commence ce billet, je n'ai pas de grandes idées, de thème, de conclusion. Justes quelques expériences que j'ai envie de partager sur mon expérience du shibari, et le ressenti qu'il y a des trucs cools à dire sur ces expériences. Même si pour l'instant, ça ne sont que des hypothèses, parce que même si des universitaires spécialisé dans le monde queer ont certainement écrit à ce sujet, je ne sais quel papier ou livre mettrait une théorie derrière mes petites histoires.
Récemment, je suis partis à New-York City pour le travail, à San Francisco pour les vacances; j'ai aussi vécu à Berlin et Paris. Dans tout ces lieux, le shibari m'a permis de rencontrer des gens cools, de les caliner, et parfois de coucher avec. Récemment, je suis parti à Palm Beach, Floride pour les vacances, à Dublin pour le travail, où je n'ai pas eu d'occasion de jouer avec des cordes. J'ai aussi vécu à Bruxelles, où j'ai quelques fois attaché, mais ce fut rare, et j'ai pas gardé beaucoup de contact. Bref, mon propos n'est pas que le shibari est la clef magique pour des bonnes rencontres absolument partout; seulement que ça arrive suffisament souvent pour que l'impacte du shibari soit notable.