Réflexions autour de mon utilisation de twitter

Deux réflexions sur twitters. Deux points de vue différents, ceux que je suis, et ceux qui me suivent. Mon compte principale est bien sûr ArthurMilchior.

Les followers

Au moment où j'écris, je suis suivi par 855 comptes. Ce dernier chiffre monte et descend au fur avec le temps, il y a quelques temps, j'avais dépassé les 860, certains ont du se désabonner. Je n'ai jamais voulu avoir de logiciel qui surveille mes abonnés et me dit qui s'est désabonné quand, pour la même raison que je ne suis pas de statistiques sur ce blog, ça ne m'intéresse pas et j'ai l'impression que ça influerait encore plus mon comportement que ce que j'aimerai.

Mais ça fait un bon moment que j'oscille entre 800 et 900. Et je ne sais pas pourquoi. Entendons nous bien, la question n'est pas pourquoi ça oscille, mais pourquoi il y en a autant. 800 personnes, c'est énorme, je suis un doctorant en informatique tendance matheux, avec quelques passions pas forcément mainstream, qui fait un peu de bénévolat, je ne suis pas drôle sur twitter (au début j'ai essayé, sans grand succès). Et je parle de tout ça. Comme j'ai cette mauvaise manie que j'aime bien que les choses soient dans des cases, tentons d'analyser mes suiveurs.

D'abord, il y a les bots, tout le monde est suivi par des robots, des gens qui se font de la pub, en fonction des centres d'intérêts, des autres gens qu'on suit. Mais comme je regarde tous ceux qui me suivent, pour voir s'ils disent des trucs intéressant, en général je les bloque assez vites. Exception faites de Zengis qui est un bot mais qui est gentil.

Il y a les gens que je connais en vrai, ou au moins hors twitter, qu'on peut principalement ranger dans quelques catégories:

  • Des membres de la sagasphère. Je ne suis pas très actif en saga mp3, de temps en temps quelques voix, mais pas de saga en cours, et pas beaucoup de création à mon actif. Mais il m'arrive d'en parler, de dire du bien de celle que j'aime, et participer aux discussions concernant ce média.
  • Il y a des humoristes, alors même que j'ai arrêté l'humour[1], mais pareils, il m'arrive de parler des gens que j'aime bien dans le domaine. J'ai même eu parfois la bonne surprise de voir des gens que j'admire réagir à ce que je dis, et quand c'est des gens que j'admire, c'est assez flatteurs.

Passons aux gens que je ne connais pas. Ça a clairement commencé en 2011 avec On n'demande qu'à en rire, et des gens - dont je fais parti - qui suivaient tout humoriste qui passaient dans l'émission. Forcément, la télé, ça aide. Ceci dit, je n'ai pas eu non plus le suivi massif qu'on put avoir rapidement Ahmed Sylla ou les jumeaux(J'ai pu suivre, cars ils ont commencé quand j'étais encore dans l'émission).

  • Depuis 2 ans, il y a les gens qui me suivent au sujet des interventions en milieu scolaire. C'est à dire que des gens me retweetent, ou disent aux autres de me suivre, car le sujet est intéressant. Et je gagne parfois des followers ces jours là. Pour l'anecdote, j'ai été mentionné par Yagg, Sos homophobie (je n'étais pas encore membre chez eux) et Le refuge, mais pas par le mag, qui est mon association, ce que je trouve assez hilarant. J'aurai tendance à supposer que c'est effectivement plus problématique pour eux, car ils pourraient ne pas être d'accord avec certains de mes propos, et comme je suis chez membre et actif chez eux on pourrait plus facilement croire que ce que je dis les engage. Que ce soit clair, je ne leur ai jamais demandé la permission pour dire quoi que ce soit, mais ils sont au courant, et si certains se sont demandé pourquoi je prend le temps de le faire, ça semble plaire à la plupart.
  • Je pense que ça doit être lié, j'ai aussi un certain nombre de follower dont la bio indique qu'ils sont trans, agenre/asexuel ou féministe, à vu de nez ça arrive plus souvent que de follower qui sont ouvertement gay[2]. C'est probablement le groupe qui me surprend le plus, car je tweet extrêmement peu à ces sujets. D'abord, ils ne me concernent pas directement donc je n'ai pas de témoignage à apporter. Et qu'on a rarement le temps d'aborder en profondeur en IMS[3]. Je reviendrai sur ce groupe plus tard.
  • Et puis des nerds de tout poils. Je met nerds plutôt que geek, car il s'agit plus souvent de développeurs ou de chercheur que de fans de séries, qui est le sens donné à ce terme aujourd'hui. Eux arrivent plus aléatoirement, ou en tout cas je n'ai pas remarqué d'arrivée massive suite à un RT ou une mention spécifique.

Bien sûr ces catégorie ont des intersections non vide, en particulier beaucoup de gens qui se définissent comme geeks et lgbtqai. Mais, comme je parlais de case, j'avoue être souvent surpris quand la discussion se met à en sortir - ce qui n'est finalement pas si souvent que ça. Clairement, les IMS permettent aux gens de réagir facilement, pas besoin d'avoir une profonde connaissance du sujet pour réagir aux remarques homophobes des lycéens. Je me retrouve donc avec des humoristes qui me parlent d'homophobie, alors que le sujet serait peut-être pas venu naturellement. Je l'ai déjà dit sur ce blog, Nicole Ferroni a 2 fois conseillé aux gens de me suivre pour les IMS. Je trouve toujours ça assez ironique, vu qu'on s'est rencontré en coulisse d'une émission d'humour, qu'elle en vienne a parler de ça, et pas de mon spectacle (à l'époque où j'en avais un). J'avoue d'ailleurs que parfois j'ai du mal à savoir comment réagir, par exemple avec des créateurs de saga mp3. En particulier des gens que je respecte énormément, que j'admire, et j'ai encore du mal à les considérer comme des égaux, à ne pas parler en tant que fans, donc à me faire à l'idée que je leur apporte un truc; qui plus est, c'est un milieu en général assez déconnant, et même s'ils abordent le sujet, j'ai parfois l'impression - à tort ou à raison - d'être lourd quand je répond, quand je rentre dans les détails, qui les intéresse pas forcément autant que ça pourrait intéresser à une réunion de bénévole de l'association.

Là où je veux en venir, c'est que je ne comprend pas, mais vraiment pas, pourquoi tout ce monde là me suit. Il y a forcément pour tout ce monde là des choses qui ne les intéressent pas, c'est même très régulier. Ceux qui s'intéressent à mes propos au sujet de ma thèse, qui ont probablement une bonne connaissance de la recherche pour les comprendre, ceux qui s'intéressent à l'humour, et ceux qui s'intéressent aux LGBTphobie en milieu scolaire, à priori, ont une intersection très faible. Il y a sûrement plein de choses peu intéressante pour chacun de ses groupes. Quelqu'un qui veut suivre les IMS va se prendre des jours et des jours de hors sujets pour un jour pertinent. Ceux qui ne s'y intéressent pas vont se prendre une journée entière de spam.

Je me pose la question, parce que si la moitié des 855 followers me lisent, et qu'un tweet leur prend 3 secondes, ça fait un peu plus de 20 minutes de temps que des gens passent à me lire par tweet. Je pense pas mériter ça. Ça pousse à vouloir être intéressant, pertinent ou drôle. Et je sais pas faire. Je suis habitué à ne pas avoir beaucoup de lecteur sur ce blog, et ça me va très bien. Là c'est différent. Ce n'est pas le compte de Justin Bieber avec 60 millions de suiveurs, mais quand même. Alors, je peux juger en fonction des favoris et retweet, mais là ça devient plus dangereux encore. Il y a cette tentation de poster ce qui semble marcher pour avoir du retweet. Mais d'abord, ça me ferait m'enfermer dans un seul style, puisque plus je suivrai ce style, plus j'aurai de suiveur qui aiment ce style, et plus ça serait dur de m'en éloigner.

Ainsi, ma dernière IMS c'est très bien passé, presque personne n'a retweeté, alors que j'ai eu pas mal de retweet en février quand je parlais d'un cours avec classe ET prof homophobe. Or, je parle de témoignage. Vouloir lu succès twitter me pousserait à s'éloigner de la vérité pour choquer, et donc faire interagir. Et non seulement c'est faux, mais ça noircirait le tableau, j'ai envie qu'on sache qu'il y a des classes super ouvertes, qui sont choqués à l'idée que l'homosexualité est interdite dans certains pays. Donc quand je parle du fait que je regrette de ne pas être retweeté, ce n'est pas parce que j'ai moins de visibilité. J'ai juste envie que ce message passe aussi, j'ai l'impression qu'en ne partageant que le pire, les gens déforment mon propos.


Les followés

Je range les gens que je suis en deux catégorie. Le compte @arthurmilchior suit 856 personnes, c'est uniquement des gens qui en général postent des trucs intéressant, par exemple, j'ai arrêté de suivre les humoristes qui ne font que poster leurs promo/les compliments de fans. Mais c'est énorme, je ne peux pas lire ça, ça me prendrait des heures par jours, donc j'ai un autre compte, privé, où je suis les gens dont je veux tout lire. Le seul souci étant bien sûr pour suivre les gens qui eux même ont un compte privé, qui n'ont accepté que @arthurmilchior.

Encore une fois, j'ai envie de faire des catégories. Mais ça a du sens, sans entrer dans la théorie des graphes, dans l'analyse de donné, il y a des réseaux, des groupes de gens où tout le monde suit (presque) tout le monde. Et quand tu suis 2 ou 3 personnes d'un groupe, je me retrouve assez naturellement à suivre les autres, pour comprendre les privates jokes, voir les conversation, et puis parce que si 3 personnes sont intéressantes, les autres ont une bonne probabilité de l'être.

  • D'abord, il y a les gens que je connais en vrai, saga mp3, humoristes, quelques autres connaissances, je ne vais pas refaire la liste.
  • Ensuite, il y a des artistes, principalement des auteurs de webcomic, youtubeurs, des humoristes que je ne connais pas en vrai, des romanciers, chanteurs.
  • Il a les comptes drôles. Plutôt avec une personnalité, et un nom associé, pas juste des blagues (souvent plagiées)
  • Des scientifiques, mais pas énormément, car je n'en trouve pas beaucoup sur ce réseau. L'intérêt étant plutôt pour la vie de la science que pour la science elle-même, la recherche tient rarement en 140 caractères.
  • Quelques nerds, là pour le coup, ce n'est pas ce qui manque, donc la sélection est plus rude, je tente de trouver des gens dont le domaine est pas trop pointu, éloigner du mien, pour que je comprenne. Ou alors des gens qui ne vont pas dans des détails techniques très profonds.
  • Et pour finir, des personnes LGB ou T. Ce qui répond peut-être en partie à la question posée plus haut. Et pour être honnête, c'est à eux que je dois l'envie d'écrire ce billet. Je ne sais plus qui j'ai suivi en premier, probablement Crowdagger, dont je conseille très fortement l'«Autobiographie transsexuelle (avec des vampires)», qui fait parfois des blagues geeks. Je connais peu de personne trans, et je ne tiens pas à leur poser des questions indiscrètes sur leur vie. Donc c'est drôlement utile pour comprendre, et qui plus est, pour parler, porter leurs témoignages et leur idées, auprès des élèves, mais aussi auprès des adultes avec qui je parle de ce sujet et qui font souvent preuve d'une grande ignorance, ne serait-ce que sur la politesse. Pour prendre un seul exemple, sans les lire, je n'aurai jamais imaginé que des gens demandent régulièrement à des trans ce qu'ils ont entre leurs jambes[4].

Tout ça, parfois, ça me donne l'impression d'être un voyeur. En particulier le dernier groupe, car c'est celui qui donne le plus de détails personnels. Je pourrai dire la même chose de pleins d'autres groupes, de ceux qui parlent du racisme, où qui vivent dans des lieux de guerre. Mais je ne les suit pas. Effectivement, je voulais des témoignages. Mais twitter, c'est aussi des discussions, je me retrouve donc à voir défiler des gens, 2 ou 3 en général, qui parlent entre eux et se répondent, en public. Parfois de manière personnels. Et j'avoue y trouver un peu de malaise. Mais il y a pire, twitter, c'est aussi du direct. On voit donc des gens ayant des problèmes, raconté ce qui vient de se passer, voir ce qui se passe en ce moment même, car souvent des problèmes durent longtemps. Dans le cas des trans, il y a des gens qui racontent que leurs parents ne leur parle plus, qu'ils sont ignorés, moqués... Le côté désagréable me semble venir, entre autre, du fait que je ne sais pas comment réagir. D'abord, ces personnes ne me connaissent pas, ou alors dans le meilleurs des cas ils me suivent et me connaissent via ce que j'écris sur twitter. Donc juste un message d'encouragement, ça serait bizarre je pense. Et puis surtout, c'est hypocrite, ça n'aide pas. Mais je suis spectateur qui ne peut pas aider. Ou pire, qui pourrait peut-être aidé, mais qui en vrai ne le veut pas. Je n'ai pas envie de proposer à un-e quasi inconnu-e totale de dormir sur mon matelas gonflable.


Autres comptes.

Pour finir avec twitter, je gère d'autre comptes, et je le mot de passe de certains autres qui n'ont pas eu l'occasion de twitter depuis des années. D'abord, j'ai eu ceux de Fur-piled, un par langue, qui prévenaient quand il y avait une nouvelles pages. Et qui reprenaient parfois des information importantes sur l'art de l'auteur. Ce compte est un des plus simples, les gens s'y abonnent car ils s'intéressent à la bd. Point. Mais je reviendrai plus tard sur les petits comptes.

J'ai aussi Dernier tweet, un compte concept qui j'ai tenté de faire vivre un moment, mais qui n'a jamais pris. 3 followers dont 2 qui sont mes comptes. Comme twitter limite à 140 caractères, certains mettent un message en plusieurs fois, et parfois font référence à leur tweet précédent. J'ai donc décidé de retweeté des trucs que je trouvais marrant à lire hors contexte, style: «« Tu fais quoi là ? » « Je regarde un lapin pousser une bière » « Hein ? » ou On peut aussi supposer qu'il ait tweeté tout un tas d'événements, puis supprimé les mauvais au bon moment... . Enfin, j'ai MinHistoire, qui est inspiré par MicroSff, une tentative d'écrire des courts morceaux d'histoires tenant en 140 caractères. Qu'intuitivement j'aurai cru plus intéressant que @arthurmilchior, mais qui a à peine dépasser 11 followers pour 67 tweets/histoires.

Notes

[1] Quoi que je refais 6 minutes sur scène le 17 mars avec un sketch inédit.

[2] Je crains d'avoir une explication pour ça. LGBT est souvent utilisé pour désigner les homos, voir les gays. Ça ne génerai donc pas quelqu'un qui se revendique gay de se dire LGBT, quitte à invisibiliser les autres, donc quelqu'un qui se revendique trans marquera directement trans dans son profil.

[3] Intervention en Milieu Scolaire contre les LGBTphobies

[4] En fait, j'aurai peut-être pu, et encore, quand j'ai dit à quelqu'un que j'aimais un-e agenre, et qu'il m'a demandé ce que c'est «en vrai».

Commentaires

1. Le dimanche 8 mars 2015, 12:51 par Typhon

« sans entrer dans la théorie des graphes, dans l'analyse de données »

Mais si, vas-y, c'est intéressant la théorie des graphes, sur Twitter ça donne plein de trucs marrant (genre des cycles : A suit B qui suit C qui suit A). Si t'as des trucs à dire sur la question je les lirai.

Y a quelque temps que je me dis qu'il doit y avoir moyen d'optimiser ses abonnements twitter en fonction du temps de lecture qu'on veut leur consacrer. C'est pas juste une question de nombre d'abonnements mais plutôt de fréquence de tweets. Faudrait demander au couard anonyme.

« Et quand tu suis 2 ou 3 personnes d'un groupe, je me retrouve assez naturellement à suivre les autres [...] parce que si 3 personnes sont intéressantes, les autres ont une bonne probabilité de l'être. »

Et c'est comme ça qu'on se retrouve à suivre beaucoup trop de gens. Il y a trop de gens intéressants.

Il y a un truc que tu n'abordes pas, peut-être parce que ça t'es pas arrivé, mais qui moi m'arrive régulièrement, qui est de voir un de ces petits groupes mentionner/discuter avec quelqu'un que je ne peux pas blairer, voire qui m'a bloqué, voire que j'ai bloqués (cas le plus rare), ce qui est toujours un peu gênant.

« Je pense pas mériter ça. »

Ben pourquoi ? C'est eux qui choisissent de te suivre et de te lire. Faut bien supposer que ça leur apporte quelque chose.

Moi, de temps en temps, y a des comptes d'américains qui me suivent, suite à une interaction avec eux par exemple. Comme je tweete essentiellement en français, je n'ai aucune idée de ce qu'ils peuvent trouver d'intéressant sur mon fil (à part des RT d'autres anglophones), mais bon, si ça les amuse.

Il faut se faire à l'idée, à partir du moment où on parle en public, que les autres sélectionnent des trucs dans tes propos, que tu le veuilles ou non, et que ce qui a du succès, c'est pas forcément ce qui te plaît le plus à toi.

Et c'est sûr que ça paraît plus particulièrement dommageable quand tu veux apporter un témoignage qui reflète ton expérience, de le voir découpé en morceaux qui seront sélectionnés. Twitter est destructeur de ce point de vue, parce que ça t'oblige à découper ton message en petits nuggets qui ne sont pas hiérarchisés.

« J'ai juste envie que ce message passe aussi, j'ai l'impression qu'en ne partageant que le pire, les gens déforment mon propos. »

Je sais pas combien d'IMS tu as faites, mais je pense qu'à ce stade, tu as de quoi écrire quelque chose qui soit plus qu'un recueil d'anecdotes amusantes ou marquantes, une synthèse sur ton expérience qui permettrait de donner une vue d'ensemble des classes, telles que tu les perçois, et qui te permettrai de mettre en avant les éléments qui te paraissent important.
Un truc plus structuré qu'une série de tweets.

Ça empêchera jamais les gens de prendre ce qu'ils veulent dans tes écrits, mais ça aura pas le même effet d'atomisation que sur Twitter.

« twitter, c'est aussi du direct. On voit donc des gens ayant des problèmes, raconté ce qui vient de se passer [...] je ne sais pas comment réagir. »

« juste un message d'encouragement, ça serait bizarre je pense. Et puis surtout, c'est hypocrite, ça n'aide pas. »

Je ne vois pas ce que ça a d'hypocrite. L'hypocrisie, c'est dire quelque chose qu'on ne pense pas.
C'est pas en soi hypocrite de dire à quelqu'un qu'on connait et apprécie, même de la façon distante et superficielle d'un anonyme sur twitter, qu'on le soutiens et lui souhaite bon courage.

Alors effectivement, tu peux te dire que ça lui fait une belle jambe. À l'usage, je pense que c'est tout de même pas rien. En général les gens le prennent bien. J'ai jamais vu personne s'offusquer d'avoir reçu des messages de soutiens sobres, ça fait plutôt plaisir je pense.

Sinon, je sais pas comment tu fais pour gérer plusieurs comptes, moi je fais tout sur le même car j'ai la flemme de séparer.

Typhon

PS : ça a rien à voir, mais tu pourrais mettre une option de formatage des commentaires, si c'est pas trop compliqué ?

2. Le dimanche 8 mars 2015, 19:46 par Arthur

Faudrait que je regarde pour les commentaires.

J'ai tenté de faire plus général sur les IMS. Ce blog contient plusieurs billets qui parlent des IMS de manière générale, sans anecdotes. Le mag a fait une analyse des IMS de 2012-2013 et celle de 2013-2014 est en cours. Et j'ai fait 92 IMS
Il reste le souci que je suis biaisé aussi, dans ma vision des choses.

Oui, il m'est déjà arrivé de voir mentionné quelqu'un que j'ai bloqué. J'ai finit par le débloquer. Mais pour moi c'est très anecdotique et trop lié à la personne IRL pour que ça vaille d'être mentionné.

3. Le lundi 9 mars 2015, 15:04 par LCF

Je n'ai Twitter, mais J'apprécie de lire le blog d'un pote, ayant divers sujets qui ne sont pas forcément ce que Je lis/vois/écoute le plus au quotidien.
Qui plus est, c'est rigolo de te lire en train de te débattre entre ta modestie et ta célébrité.

"la recherche tient rarement en 140 caractères"
P=NP. Marges trop courtes. Preuve triviale, laissée en exercice au lecteur. Spéciale Dédicace MC Athree'.

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